Il ne faut pas se leurrer: j’aime les myrtilles. Il y a plus néfaste, mais dans mon cas, on peut parler d’addiction. Généralement sous forme de jus ou de yaourt (ou de liqueur…), je ne les cuisine que rarement.
Il faut dire que je fais peu de dessert. Et là, en cette fin d’après midi, une envie subite. Je me lance.